Grosse - grosse panique ce matin dans les couloirs du métro.
Une affiche me sort de mon coma matinal quotidien.
Et là, c’est le Choc.
Un affront en image au site capillaire Cheveux Cheveux.
Mais de quoi s’agit-il ? Quel drame capillaire s’est - il déroulé ?
Retour sur une expérience capillaire peu commune.
Le cœur battant, je m’approche de l’affiche. Des serpents sur une chevelure.
Impossible de distinguer s’il s’agit d’un homme ou d’une femme. Et quelques phrases écrites de ci, de là.
Le Musée d'Orsay organise du 21 octobre 2008 au 1 février 2009 une expo sur les Masques, intitulée : « Masques, de Carpeaux à Picasso ». "Le Mystère et l'Eclat".
Le topo de cette expo :
Le masque est double : il dévoile et dissimule... il est utilisé au service du Bien comme du Mal....bouh, j'ai peur... A la fin du XIXe siècle, de nombreux artistes revisitent le Masque et sa symbolique : Ensor, Munch, Vallotton, Böcklin, Klinger, Gauguin ou Picasso.
Quid de cette Méduse, qui va hérisser plus d'un cheveu des membres de notre club capillaire very VIP ?
C’est une création de Arnold Böcklin : un bouclier avec un visage de Méduse. Selon les mythes grecs, Méduse, est belle jeune fille violée ou séduite par Poséidon dans un temple dédié à Athena. Mais, on ne fait pas n'importe quoi dans un temple dédié à Athéna.
Peu importe si Méduse n'était pas consentante, selon Athena.
Athéna décide de se venger. Elle cherche une vraie vengeance de femme. Elle veut anéantir sa féminité.
Méduse fut métamorphosée par Athéna en un monstre femelle hybride, à la chevelure de serpents. Elle pétrifiait quiconque croisait son regard. Décapitée par Persée, ce dernier offre à Athéna la tête de Méduse que la déesse fixe sur son bouclier.
D'autres affronts capillaires pour illustrer la méchante et cruelle Méduse...c'est, tout de suite, right now :
lundi 17 novembre 2008
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